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26 janvier 2017 4 26 /01 /janvier /2017 13:59
  • Auteur : Laure Bazire
  • Editeur : Nathan Jeunesse
  • Collection : Un regard sur...
 
 
 
Description de l'ouvrage :
 
Londres, 1596. Le jeune Josh est embauché comme charpentier par le grand William Shakespeare pour démonter son Theatre et construire ce qui deviendra le théâtre du Globe. Fraîchement arrivé de la petite ville de Stratford-upon-Avon, Josh découvre Londres, le théâtre et la vie parmi la troupe de Shakespeare à la taverne du Green Dragon. Ce milieu surprend le jeune homme, et le choque un peu. Alors que Shakespeare le met à contribution pour les répétitions de sa pièce "Roméo et Juliette", Josh s'éprend d'Alma, la jolie fille du tavernier, passionnée de théâtre...
 
C.f : Amazon.fr
Merci aux éditions Nathan pour cet envoi
 
 
 
Mon avis :
 
Les amoureux du Green Dragon – Dans la troupe de Shakespeare est un roman historique qui nous plonge au cœur de Londres au XVIe siècle aux côtés de Shakespeare et de sa troupe.
 
Nous découvrons Josh, jeune adolescent devenu orphelin à qui l’on offre la possibilité de travailler aux côtés du dramaturge William Shakespeare comme charpentier. Sa mission : créer les décors et à les démonter. Ainsi, il découvre Londres qui est bien différente de ce à quoi il s’imaginait dans sa petite ville de Stratford Upon Avon mais c’est également là qu’il va faire la rencontre d’Alma, la fille du tavernier du Green Dragon, où il loge.
 
L’écriture de l’auteure est agréable à lire, très fluide de sorte que l’on rentre rapidement dans l’histoire. Il est toujours intéressant de s’immerger au sein d’une troupe de théâtre et encore plus celle de Shakespeare (voir les répétitions, le travail d’écriture, et ce que ça implique aussi de travailler pour lui). Un livre qui nous permet de voir les conditions de l’époque en mêlant fiction et réalité. En effet, il reste très peu de traces de la vie de Shakespeare donc, il ne faut pas prendre pour argent comptant tout ce qui est décrit dans ce roman.
 
Josh est un personnage attachant de par sa situation difficile d’orphelin. Sa rencontre avec Alma va changer les choses mais rien ne va être simple pour lui dans la conquête de sa belle.
 
En bref, Les amoureux du Green Dragon – Dans la troupe de Shakespeare est un roman qui m’a fait passer un bon moment de lecture. C’était intéressant de s’immiscer dans la vie de Shakespeare même de façon fictive pendant un instant, de le voir travailler. Les personnages sont attachants. J’ai particulièrement aimé voir l’avancée de l’écriture d’une pièce de théâtre (j'aime le théâtre !!).
 
Comme vous avez pu le constater, c’est un roman qui m’a plu grâce à sa combinaison d’aventure, de théâtre et d’un zeste de romance.
Les amoureux du Green Dragon : Dans la troupe de Shakespeare
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3 janvier 2017 2 03 /01 /janvier /2017 09:41
  • Auteur : Lian Hearn
  • Editeur : Gallimard Jeunesse
  • Collection : Romans ado
 
 
Description de l'ouvrage :
 
Aux sources du Clan des Otori... Une épopée fantastique dans un Japon médiéval fascinant.Laissé pour mort dans la montagne, le jeune Shikanoko trouve refuge chez un sorcier qui lui fabrique un masque aux immenses pouvoirs magiques. Il devient «l'Enfant du Cerf». Il parlera aux fantômes et aux esprits protecteurs, il apprendra des hommes et des femmes les plus puissants, il connaîtra le raffinement, l'amour et les sentiments les plus purs, mais aussi la bestialité, la cruauté et les machinations politiques...
 
 
C.f : Amazon.fr
Merci aux éditions Gallimard pour cet envoi.
 
 
 
Mon avis :
 
Ce livre est un pré quel sur les origines mythiques du Clan des Otori et je vous rassure immédiatement : pas besoin d’avoir lu Le Clan des Otori pour apprécier votre lecture. La preuve, je ne l’ai jamais lu ! L’auteur nous plonge dans un monde envoûtant où se mêlent les aventures de samouraïs traditionnelles et une dimension surnaturelle d’une grande originalité. L’histoire porte le lecteur dans un univers symbolique et merveilleux, tout à la fois fascinant et d’une grande force poétique.
C’est le premier tome des quatre livres de l’épopée Shikanoko.
 
En lisant ce roman, j’avais personnellement l’impression de lire un conte traditionnel bien différent de ceux occidentaux et c’est ce qui m’a plu. Les recherches historiques en amont se sentent car, le monde qu’elle construit, est réaliste dans son irréalisme et son fantastique.
 
Le narrateur semble, au premier abord, spectateur mais son développement va vite changer cette impression. On change de point de vue à chaque chapitre et d’autres personnages font leur entrée au fil de l’histoire. Grâce à la plume de l’auteur, tout est fluide et on a envie d’en savoir plus sur chacun d’eux.
 
J’ai pris plaisir à découvrir l’histoire de l’Empire des Huit-Iles et les batailles pour le pouvoir entre les différentes familles, les alliances et les mésalliances ; mais surtout le mélange subtil entre la magie et la politique. Les rebondissements de l’intrigue donnent envie d’avoir immédiatement les tomes suivants afin de savoir qui sera le gagnant de ce jeu de trônes (sans jeu de mots…) et ce qu’il va advenir de l’enfant cerf Shikanoko.
 
Si vous voulez voyager dans le Japon médiéval sous l’aspect d’un conte traditionnel, ce tome un est fait pour vous.
 
 
 
Shikanoko T01 : L'enfant du cerf
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26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 09:46
  • Auteur : Catherine Cuenca
  • Editeur : Nathan
  • Collection : Un regard sur...
 
 
Description de l'ouvrage :
 
Paris, décembre 1792. Aurore, 20 ans, assiste au procès de Louis XVI et rencontre enfin celle qu'elle admire plus que tout : Olympe de Gouges. Cette intellectuelle engagée combat pour les libertés et porte la voix des femmes, grandes oubliées de la Révolution. Devenue sa secrétaire particulière, la jeune fille découvre à ses côtés la réalité d'une vie de lutte, et comprend bientôt qu'Olympe est en danger. Car nombreux sont ceux qui veulent la réduire au silence...
 
 
C.f : Amazon.fr
Merci aux éditions Nathan pour cet envoi.
 
 
 
Mon avis :
 

Ce roman est une franche réussite car il permet au lecteur de (re)découvrir Olympe de Gouges, femme de lettres engagée pour les libertés et surtout celles des femmes pendant la Révolution Française. Auteur d’une « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », elle militera pour l’égalité homme-femme et le droit des femmes à monter à la Tribune. D’ailleurs, sur ce dernier point, il faudra attendre l’ordonnance du 29 avril 1945 soit 153 ans pour que son souhait devienne réalité.

 

L’action se déroule en 1792 pendant et après le procès de Louis XVI et se focalise sur Aurore (personnage fictif) vouant une véritable admiration à olympe de Gouges et qui deviendra sa secrétaire. a travers elle, nous vivons la période clé de son combat en faveur des femmes jusqu’à son arrestation. De plus, le lecteur découvre les excès de la Révolution.

 

Instructif et bien écrit, ce livre est une belle introduction au personnage historique Olympe de Gouges et à son combat en faveur des femmes.

La révolution d'Aurore
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21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 08:25
  • Auteur : Catherine Cuenca
  • Editeur : Bulles de savon
  • Collection : L'Histoire, c'est un roman
 
 
 
Description de l'ouvrage :
 
1536. Jordi, 13 ans, est ravi : il embarque pour le Nouveau Monde ! Avec son grand frère Manolo, il va rejoindre leur parrain, propriétaire d'un domaine prospère de la côte caraïbe. Jordi compte s'enrichir et peut-être même découvrir le trésor de l'Eldorado, ce pays fabuleux dont tous les aventuriers parlent... Très vite, les illusions du jeune garçon s'effondrent. Son frère disparu, il se retrouve seul chez un parrain tyrannique où il découvre le sort des Indiens réduits en esclavage, forcés de tamiser la boue des rivières pour en extraire l'or.
 
C.f : Amazon.fr
 
 
 
Mon avis :
 

Encore une lecture historique qui vous fera voir autrement les Conquistadores.

Le lecteur suit Jordi, jeune espagnol, qui espère faire fortune au Nouveau-Monde sur la côte Caraïbe. Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu et il va se trouver confronté à la cruauté des Blancs envers les « Indiens » natifs. La soif d’or leur fait littéralement perdre la tête et ils se montrent d’une cruauté telle que le récit en devient poignant.

 

J’ai aimé suivre Jordi et l’évolution de son point de vue ainsi que son humanisme. L’Eldorado n’est pas tant l’or mais la découverte et le respect de l’autre.

Eldorado : le trésor de la cité perdue
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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 15:01
  • Auteur : Sandrine Beau
  • Editeur : Belin
  • Collection : Premiers romans
 
 
Description de l'ouvrage :
 
Connaissez-vous Alice Guy ? Mademoiselle Alice, comme tout son entourage l'appelle, fut la femme qui a inventé le cinéma ! Voici son exceptionnelle histoire...
Nous sommes en 1895. Entrée il y a quelques années comme secrétaire au Comptoir général de la photographie (qui va devenir les studios Gaumont), la jeune Alice découvre ébahie La Sortie des usines Lumière, le tout premier film des frères Lumière. Dès lors, elle n'a plus qu'une idée en tête: écrire et tourner ses propres saynètes. Son patron, M. Gaumont, lui laisse carte blanche... Dès sa première réalisation, La Fée aux choux, le succès est au rendez-vous !
C'est avec passion que l'on suit l'incroyable parcours de cette touche-à-tout enthousiaste et perfectionniste, qui aura réalisé 400 films, ajouté de la couleur et du son aux images et lancé sa propre société de production aux États-Unis !
 
C.f : Amazon.fr
 
 
Mon avis :
 

 

Ce court roman m’a permis de connaître Alice Guy. Issue d’une bonne famille bientôt ruinée, elle travaille comme sténographe de Léon Gaumont. Lorsque le cinématographe fait son apparition, Alice perçoit d’emblée le potentiel de cette invention contrairement à son patron et va inventer le film de fiction. Léon Gaumont ne la prend pas au sérieux alors elle en profite pour tourner énormément allant jusqu’à grimper dans la société Gaumont puis va s’expatrier aux USA où elle montera la Solax, sa société de production.

 

Sous ce magnifique destin se cache une femme créative, visionnaire et volontaire. L’auteur, grâce au « je » enthousiaste et volontaire puis grâce au point de vue d’un petit comédien fictif, va donner vie à cet ouvrage de lecture facile et instructif privilégiant l’attitude visionnaire d’Alice.

 

 

Sandrine Beau m’a fait connaître le nom de cette grande femme du cinéma : merci !

Mademoiselle Alice qui inventa le cinéma
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 13:29
  • Auteur : John Boyne
  • Editeur : Gallimard Jeunesse
  • Collection : Romans ado

 

Description de l'ouvrage :

 

A l'aube de la Seconde Guerre mondiale, Pierrot vit à Paris avec ses parents, ignorant tout des nazis. Devenu orphelin, il est envoyé chez sa tante, en Allemagne, dans une maison au sommet d'une montagne.Ce n'est pas une maison ordinaire. Le Berghof est la résidence d'Adolf Hitler. Pierrot va découvrir là un autre monde, fascinant et monstrueux.

 

C.f : Amazon.fr

Merci aux éditions Gallimard pour cet envoi.

 

 

Mon avis :

 

L’action se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est mentionné. Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’antisémitisme fera prendre à la mère une décision : envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père) va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret sera membre des jeunesses hitlériennes.

 

Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est parti à la guerre ainsi que ce roman.

Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon métier de Robert Merle, j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».

Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une idéologie raciste et antisémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui offre un regard ce qui le fait sentir enfin considéré.

La fin de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant enfin des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfantine exploitée mais dont la conscience finie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter. En effet, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait ».

 

Le garçon au sommet de la montagne
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13 octobre 2016 4 13 /10 /octobre /2016 19:02
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est
  • Auteur : John Boyne
  • Editeur : Gallimard Jeunesse
  • Collection : Romans ado

 

Description de l'ouvrage :

 

A l'aube de la Seconde Guerre mondiale, Pierrot vit à Paris avec ses parents, ignorant tout des nazis. Devenu orphelin, il est envoyé chez sa tante, en Allemagne, dans une maison au sommet d'une montagne.Ce n'est pas une maison ordinaire. Le Berghof est la résidence d'Adolf Hitler. Pierrot va découvrir là un autre monde, fascinant et monstrueux.

 

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Merci aux éditions Gallimard pour cet envoi.

 

Mon avis :

Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »

L’action se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est mentionné. Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’antisémitisme fera prendre à la mère une décision : envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père) va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret sera membre des jeunesses hitlériennes.

 

Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est parti à la guerre ainsi que ce roman.

Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon métier de Robert Merle, j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».

Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une idéologie raciste et antisémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui offre un regard ce qui le fait sentir enfin considéré.

La fin de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant enfin des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfantine exploitée mais dont la conscience finie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter. En effet, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait ».

 

Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
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12 octobre 2016 3 12 /10 /octobre /2016 15:00
  • Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
  • Editeur : Le livre de poche
  • Collection : Le livre de poche jeunesse
 
 
Description de l'ouvrage :
 
Juin 1936. Un coup de tonnerre vient d'ébranler la vie de Théo : il sent qu'on lui cache quelque chose au sujet de son père, tué avant sa naissance, dans les derniers jours de la Première Guerre mondiale. Grâce à Clémentine, une petite fille qui ne pense qu'à glaner des recettes de confiserie, il part sur les traces de son père.
 
C.f : Amazon.fr
 
 
Mon avis :
 
En tant que lectrice passionnée de romans historiques pour les enfants, l’intérêt de ce roman réside dans le fait que l’action se déroule en 1936 pendant les grèves. Je n’avais encore jamais vu aborder ce thème dans des romans pour enfants.
 
Evelyne Brisou-Pelen place son récit en 1936 mais l’ombre de la Grande Guerre prend de plus en plus de place au fur et à mesure que les pages défilent. Les familles de Théo et de Clémentine sont liées par l’amitié de tranchées du père de l’un et de l’autre de l’autre. Les conséquences de la Première Guerre Mondiale sont terribles pour les hommes et leurs familles endeuillées…ou pas car ici est soulevé le thème des « Gueules Cassées » avec beaucoup de tact.
 
Théo et Clémentine sont attachants chacun à leur manière :
-Théo parce qu’il cherche son passé, à découvrir son père
-Clémentine par sa détermination.
Chacun fait route vers son avenir et le lecteur chemine avec eux comme des amis voulant comprendre un mystère.
 
Plus qu’une histoire ou un bond dans le passé, ce roman est une quête d’identité mais surtout une découverte de l’amitié entre deux enfants que tout oppose.
Le fils de mon père
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3 juillet 2016 7 03 /07 /juillet /2016 14:47
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29 mai 2016 7 29 /05 /mai /2016 11:12

Nouvelle vidéo sur Ruta Sepetys : "Le sel de nos larmes"

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