17 décembre 2013
2
17
/12
/décembre
/2013
14:37
-
Auteur : Thomas Gornet
-
Broché: 80 pages
-
Editeur : Editions du Rouergue (31 août 2013)
-
Collection : DoAdo
Biographie de l'auteur
Comédien, metteur en scène et auteur de romans et de théâtre, Thomas Gornet, né en 1976, se balade principalement entre Limoges et Montluçon et sur toutes les routes goudronnées de France.
Description de l’ouvrage
Que s'est-il passé dans la famille de ce collégien, pour qu'il passe son dimanche après-midi en visite au cimetière avec ses parents ?
Un roman où l'on remonte le temps, jour après jour, chapitre après chapitre, pour découvrir peu à peu ce qu'il s'est réellement passé il y a sept jours...
«Tout s'est passé très vite, en une semaine». Ainsi démarre Sept jours à l'envers, le premier roman pour adolescents de Thomas Gornet. Mais qu'est-il vraiment arrivé pour que ce collégien plutôt banal et ses parents partent en promenade, ce dimanche, au cimetière ? Comme une caméra qui remonte le temps, on va chapitre après chapitre revisiter chaque jour de la semaine, depuis le jour de l'enterrement jusqu'au dimanche précédent, durant lequel s'est produit l'événement fatal, la disparition de l'oncle du collégien dans un accident. Avec ce dernier, un célibataire plutôt fantaisiste, il partageait de chouettes moments.
Mais, attention : Sept jours à l'envers n'est surtout pas un roman morbide, notamment grâce au ton très second degré de Thomas Gornet. Chaque chapitre se termine, par exemple, par une réponse "débile" à une devinette que lui avait posée son oncle dans son dernier coup de fil. On partage ainsi quelques jours de la vie de cette famille, de ce collégien et de ses copains. La construction "à l'envers" du roman crée un certain mystère que le lecteur devra soulever en relevant un à un les indices pour avancer dans l'histoire et, comme dans une enquête criminelle, découvrir qui est mort et comment.
Un roman où l'on remonte le temps, jour après jour, chapitre après chapitre, pour découvrir peu à peu ce qu'il s'est réellement passé il y a sept jours...
«Tout s'est passé très vite, en une semaine». Ainsi démarre Sept jours à l'envers, le premier roman pour adolescents de Thomas Gornet. Mais qu'est-il vraiment arrivé pour que ce collégien plutôt banal et ses parents partent en promenade, ce dimanche, au cimetière ? Comme une caméra qui remonte le temps, on va chapitre après chapitre revisiter chaque jour de la semaine, depuis le jour de l'enterrement jusqu'au dimanche précédent, durant lequel s'est produit l'événement fatal, la disparition de l'oncle du collégien dans un accident. Avec ce dernier, un célibataire plutôt fantaisiste, il partageait de chouettes moments.
Mais, attention : Sept jours à l'envers n'est surtout pas un roman morbide, notamment grâce au ton très second degré de Thomas Gornet. Chaque chapitre se termine, par exemple, par une réponse "débile" à une devinette que lui avait posée son oncle dans son dernier coup de fil. On partage ainsi quelques jours de la vie de cette famille, de ce collégien et de ses copains. La construction "à l'envers" du roman crée un certain mystère que le lecteur devra soulever en relevant un à un les indices pour avancer dans l'histoire et, comme dans une enquête criminelle, découvrir qui est mort et comment.
CF : amazon.fr
Mon avis
L’originalité de ce récit est l’effet « à rebours » qu’utilise l’auteur. Nous remontons le fil des événements ce qui nous permet de connaître ce qu’il s’est passé et avec qui.
Personnellement, c’est aux ¾ du roman que j’ai deviné ce qui témoigne de l’ingéniosité et de l’intelligence du récit ainsi que de l’auteur.
Il m’est difficile d’en parler plus sans dévoiler ce qui se passe même si ce n’est pas l’intérêt principal du roman ; dès le départ nous savons que nous sommes confronté à la mort d’un proche mais nous ne savons pas qui, ni comment, ni pourquoi et finalement, est-ce si important ? Le principal atout est véritablement l’écriture de Thomas Gornet. Son style est simple, collant à l’âge de son héros et pourtant extrêmement captivant.
Le sujet traité me touche particulièrement ayant vécu la même chose que le héros de l’histoire. En refermant le livre, j’ai repensé à lui, à ce que j’avais ressenti comme joie, comme peine et j’ai souri parce que sa mémoire m’est précieuse. Alors, je tenais à dire un grand, un très grand MERCI à Thomas Gornet pour ce fabuleux roman au second degré incroyable.