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13 octobre 2016 4 13 /10 /octobre /2016 19:02
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est
  • Auteur : John Boyne
  • Editeur : Gallimard Jeunesse
  • Collection : Romans ado

 

Description de l'ouvrage :

 

A l'aube de la Seconde Guerre mondiale, Pierrot vit à Paris avec ses parents, ignorant tout des nazis. Devenu orphelin, il est envoyé chez sa tante, en Allemagne, dans une maison au sommet d'une montagne.Ce n'est pas une maison ordinaire. Le Berghof est la résidence d'Adolf Hitler. Pierrot va découvrir là un autre monde, fascinant et monstrueux.

 

C.f : Amazon.fr

Merci aux éditions Gallimard pour cet envoi.

 

Mon avis :

Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »

L’action se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est mentionné. Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’antisémitisme fera prendre à la mère une décision : envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père) va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret sera membre des jeunesses hitlériennes.

 

Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est parti à la guerre ainsi que ce roman.

Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon métier de Robert Merle, j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».

Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une idéologie raciste et antisémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui offre un regard ce qui le fait sentir enfin considéré.

La fin de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant enfin des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfantine exploitée mais dont la conscience finie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter. En effet, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait ».

 

Le garçon au sommet de la montagne
L’acon se déroule à Paris, en 1936, mais aucun événement lié au Front Populaire n’est menonné.
Orphelin de père allemand et de mère française, Pierrot va habiter dans un premier temps chez son
meilleur ami Anshel. Cependant, la montée de l’ansémisme fera prendre à la mère une décision :
envoyer Pierrot dans un orphelinat à Orléans où il restera peu de temps. Sa tante (sœur de son père)
va le récupérer et l’emmener vivre au Berghof, en Autriche, où il deviendra Pietr, côtoiera le Führeret
sera membre des jeunesses hitlériennes.
Autant je n’avais pas apprécié Le garçon au pyjama rayé, autant j’ai aimé lire Mon père est par à la
guerre ainsi que ce roman.
Une fois de plus, l’auteur choisit le point de vue d’un jeune garçon et le lecteur assiste à sa descente
en enfer sans pouvoir rien faire pour lui. Comme dans La mort est mon méer de Robert Merle,
j’avais envie de lui crier d’arrêter, d’ouvrir les yeux, de se réveiller et, en même temps, je ne pouvais
pas lui en vouloir tellement la pente descendante est douce et « logique ».
Dans ce roman, John Boyne nous montre comme il est facile d’embrigader et de faire adhérer à une
idéologie raciste et ansémite un jeune enfant qui plus est sans repaire. Le Führer lui o=re un regard
ce qui le fait senr en>n considéré.
La >n de la guerre marque la prise de conscience de Pietr / Pierrot devenu adolescent exprimant
en>n des remords. Car voilà la clé de ce roman : la faiblesse psychologique enfanne exploitée mais
dont la conscience >nie par se réveiller et les remords à se manifester ce qui le pousse à se racheter.
En e=et, le pire de tous les crimes, « c’est de faire semblant de ne pas savoir ce qui se passait »
Le garçon au sommet de la montagne
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